Dévorante d’une beauté insolente, jugée et assassinée bien avant l’heure et sans en avoir eut le choix… La jeune femme sera la victime corolaire de l’autre, la laide, la sale, la puante, la bestiale, la « pute » pour le dire platement. Celle qui arpente les rues et qui fait usage de ses charmes comme on vend son âme au Diable, semble faire autant de mal aux autres femmes, qu’elle ne s’en inflige à elle-même. Et pourtant, qu’elle est le ou la vraie coupable dans toute cette histoire?